Nous sommes en train d'écrire deux nouvelles de science-fiction et nous avons scannés quelques brouillons :
jeudi 28 mai 2009
Nous rédigeons une nouvelle de science-fiction !
Nous sommes allés voir cette année plusieurs films de science-fictions :
Blade Runner,
Soleil Vert,
La Jetée, L'Armée des douze singes,
The Host,
Et nous irons bientôt visionner Le Monde, la chair et le diable.
Ces films nous ont donné des idées pour écrire des récits de science-fiction.
Voici quelques uns des personnages que nous avons inventés pour deux récits.
Blade Runner,
Soleil Vert,
La Jetée, L'Armée des douze singes,
The Host,
Et nous irons bientôt visionner Le Monde, la chair et le diable.
Ces films nous ont donné des idées pour écrire des récits de science-fiction.
Voici quelques uns des personnages que nous avons inventés pour deux récits.
lundi 2 juin 2008
Triple meurtre au Havre
Triple meurtre au Havre
Une aventure de Vladimir Poliakov
Chapitre un
Mercredi 17 Octobre vers six heures, Madame Geneviève allait chercher son pain et des croissants pour ses petits enfants et une religieuse pour son mari. Il y avait du vent et de la pluie, beaucoup de pluie rue Joseph Morlent.
D’un coup la bouche d’égout qui se trouvait devant elle décolla, et comme un diable sortant de sa boite un cadavre surgit du sol !
Chapitre deux
Vladimir Poliakov arriva sur les lieux du crime habillé de manière décontractée, portant des chaussures de sport, un jean et une chemise, une calenche dans la main gauche, un cigare dans l’autre et un bonnet sur la tête. Un policier le salua : « Bonjour inspecteur ».
Il se dirigea vers la grand-mère pour lui poser des questions, mais celle-ci ne parla pas. Elle était traumatisée.
Chapitre trois
Vladimir fit enlever le corps. Il suivit l’ambulance avec sa propre voiture.
Arrivé à la morgue, Vladimir demanda au légiste s’il avait trouvé un moyen d’identifier le corps.
Le légiste répondit : « Non, Vladimir, on lui a arraché les dents et il n’a plus d’empreintes digitales… Je n’ai pas trouvé de papiers d’identité sur lui. Il n’a qu’un tatouage sur l’avant bras.
-Peux-tu me le décrire ?
-Oui, je crois voir des flammes,
et peut-être une plante au milieu de ces flammes.
Merci, je vais essayer de trouver quelque chose sur ce tatouage. »
Chapitre quatre
Vladimir se rendit à son bureau et téléphona à Rico, un de ses informateurs, pour se renseigner sur le tatouage. Rico lui répondit : « OK, je vais faire tout mon possible. »
De son côté, l’inspecteur décida d’aller rendre visite à plusieurs tatoueurs pour leur montrer celui de la victime. Mais personne ne lui apprit grand-chose.
Chapitre cinq
Rico appela Vladimir quelques jours plus tard pour lui dire ce qu’il avait trouvé.
« Alors qu’as-tu à m’apprendre ?
-Le tatouage reprend les armes d’une vieille famille havraise, des navigateurs, ils ont fait fortune dans le café et le commerce d’esclaves…
Où as-tu déniché ça ?
Hé hé… On voit le même blason au fronton d’une maison appartenant aux héritiers d’un famille d’armateurs », répondit Rico.
Chapitre six
Vladimir vérifia l’adresse et s’y rendit avec sa Ford Mustang Shelby 500. Arrivé sur les lieux, il découvrit une maison datant de 1750. Le jardin n’était pas très entretenu. Il frappa à la porte et attendit. Une femme assez âgée lui répondit froidement : « Je suis toute seule aujourd’hui et je ne veux voir personne ! »
Il n’insista pas mais il était persuadé qu’elle lui mentait. Il avait entendu du bruit pendant qu’elle lui parlait.
Chapitre sept
Fin octobre, par un matin pluvieux, un pécheur remontait l’ancre de son bateau dans le petit port quand un marin cria : « Arrêtez tout, il y a un corps perché sur l’ancre ! »
Une heure après, la police était sur les lieux et Vladimir montait sur le bateau. Le cadavre, une fois remonté, portait sur son bras droit un tatouage que Vladimir reconnut tout de suite : « Et de deux ! »
Chapitre huit
Le soir même Vladimir reçut le dossier des empreintes dentaires du second cadavre, avec il y avait tous les renseignements sur cette victime. En lisant la fiche, Vladimir apprit que c’était un Anglais, cousin d’une famille d’armateurs havrais.
Chapitre neuf
Aussitôt Vladimir et ses collègues mirent la maison sous surveillance vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept.
Deux jours après le début de la surveillance, un soir, Vladimir vit un homme vêtu de noir dans le jardin. Il se dirigeait vers la maison. Tout à coup une lumière s’alluma et paf ! Un coup de feu.
Chapitre dix
Poliakov Intervint immédiatement avec son équipe. Arrivés dans la maison, ils ne virent personne. Mais une porte bizarre était grande ouverte. Il y avait des marches qui descendaient et semblaient rejoindre les égouts. Surprise ! Un homme était là, juste devant Vladimir, à terre…
Chapitre onze
Vladimir courut après le tueur, sauta par-dessus un tonneau, passa à côté d’un nid de rats, longea le mur, sauta et plongea sur le tueur.
Vladimir rejoignit ses collègues, essoufflé, en tenant en main le coupable.
Le corps trouvé dans les escaliers était celui du propriétaire de la maison.
Chapitre douze
Arrivé au commissariat de police, rue Hélène, Vladimir emmena le tueur dans une salle d’interrogatoire. Il commença à le questionner.
« Comment t’appelles-tu ?
-Marcel, répondit le tueur.
-Très bien Marcel, tu vas m’expliquer pourquoi tu as tué cet homme et sûrement les deux autres…
-Et si je refuse ?
-On te chargera. Tu feras beaucoup plus d’années de prison.
-OK, j’avoue. Je les ai tués tous les trois pour me venger !
-Vas-y, continue. Pour te venger de quoi ?
-Des armateurs. Pendant la guerre, ils ont pillés les biens de ma famille et maintenant, je vis dans la misère ! », hurla Marcel.
Vladimir sortit laissant le tueur à ses collègues et monta dans sa Ford. Il roula jusqu’à la plage, s’installa sur les galets, et sortit une calenche.
Triple meurtre au Havre
Scénario
Alexis Lefèbvre, Aurélien Legros, Kévin Lequilbec, Andy Longé, Maxime Pain, Geoffrey Ros, Jessy Ruby, Jimmy Ruby, Jérémy Sauvage, Karim Soula-Brahim, Florent Vitis
Cette nouvelle a été publiée sous la forme d'un petit livre augmentée d'illustrations photographiques.
Une aventure de Vladimir Poliakov
Chapitre un
Mercredi 17 Octobre vers six heures, Madame Geneviève allait chercher son pain et des croissants pour ses petits enfants et une religieuse pour son mari. Il y avait du vent et de la pluie, beaucoup de pluie rue Joseph Morlent.
D’un coup la bouche d’égout qui se trouvait devant elle décolla, et comme un diable sortant de sa boite un cadavre surgit du sol !
Chapitre deux
Vladimir Poliakov arriva sur les lieux du crime habillé de manière décontractée, portant des chaussures de sport, un jean et une chemise, une calenche dans la main gauche, un cigare dans l’autre et un bonnet sur la tête. Un policier le salua : « Bonjour inspecteur ».
Il se dirigea vers la grand-mère pour lui poser des questions, mais celle-ci ne parla pas. Elle était traumatisée.
Chapitre trois
Vladimir fit enlever le corps. Il suivit l’ambulance avec sa propre voiture.
Arrivé à la morgue, Vladimir demanda au légiste s’il avait trouvé un moyen d’identifier le corps.
Le légiste répondit : « Non, Vladimir, on lui a arraché les dents et il n’a plus d’empreintes digitales… Je n’ai pas trouvé de papiers d’identité sur lui. Il n’a qu’un tatouage sur l’avant bras.
-Peux-tu me le décrire ?
-Oui, je crois voir des flammes,
et peut-être une plante au milieu de ces flammes.
Merci, je vais essayer de trouver quelque chose sur ce tatouage. »
Chapitre quatre
Vladimir se rendit à son bureau et téléphona à Rico, un de ses informateurs, pour se renseigner sur le tatouage. Rico lui répondit : « OK, je vais faire tout mon possible. »
De son côté, l’inspecteur décida d’aller rendre visite à plusieurs tatoueurs pour leur montrer celui de la victime. Mais personne ne lui apprit grand-chose.
Chapitre cinq
Rico appela Vladimir quelques jours plus tard pour lui dire ce qu’il avait trouvé.
« Alors qu’as-tu à m’apprendre ?
-Le tatouage reprend les armes d’une vieille famille havraise, des navigateurs, ils ont fait fortune dans le café et le commerce d’esclaves…
Où as-tu déniché ça ?
Hé hé… On voit le même blason au fronton d’une maison appartenant aux héritiers d’un famille d’armateurs », répondit Rico.
Chapitre six
Vladimir vérifia l’adresse et s’y rendit avec sa Ford Mustang Shelby 500. Arrivé sur les lieux, il découvrit une maison datant de 1750. Le jardin n’était pas très entretenu. Il frappa à la porte et attendit. Une femme assez âgée lui répondit froidement : « Je suis toute seule aujourd’hui et je ne veux voir personne ! »
Il n’insista pas mais il était persuadé qu’elle lui mentait. Il avait entendu du bruit pendant qu’elle lui parlait.
Chapitre sept
Fin octobre, par un matin pluvieux, un pécheur remontait l’ancre de son bateau dans le petit port quand un marin cria : « Arrêtez tout, il y a un corps perché sur l’ancre ! »
Une heure après, la police était sur les lieux et Vladimir montait sur le bateau. Le cadavre, une fois remonté, portait sur son bras droit un tatouage que Vladimir reconnut tout de suite : « Et de deux ! »
Chapitre huit
Le soir même Vladimir reçut le dossier des empreintes dentaires du second cadavre, avec il y avait tous les renseignements sur cette victime. En lisant la fiche, Vladimir apprit que c’était un Anglais, cousin d’une famille d’armateurs havrais.
Chapitre neuf
Aussitôt Vladimir et ses collègues mirent la maison sous surveillance vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept.
Deux jours après le début de la surveillance, un soir, Vladimir vit un homme vêtu de noir dans le jardin. Il se dirigeait vers la maison. Tout à coup une lumière s’alluma et paf ! Un coup de feu.
Chapitre dix
Poliakov Intervint immédiatement avec son équipe. Arrivés dans la maison, ils ne virent personne. Mais une porte bizarre était grande ouverte. Il y avait des marches qui descendaient et semblaient rejoindre les égouts. Surprise ! Un homme était là, juste devant Vladimir, à terre…
Chapitre onze
Vladimir courut après le tueur, sauta par-dessus un tonneau, passa à côté d’un nid de rats, longea le mur, sauta et plongea sur le tueur.
Vladimir rejoignit ses collègues, essoufflé, en tenant en main le coupable.
Le corps trouvé dans les escaliers était celui du propriétaire de la maison.
Chapitre douze
Arrivé au commissariat de police, rue Hélène, Vladimir emmena le tueur dans une salle d’interrogatoire. Il commença à le questionner.
« Comment t’appelles-tu ?
-Marcel, répondit le tueur.
-Très bien Marcel, tu vas m’expliquer pourquoi tu as tué cet homme et sûrement les deux autres…
-Et si je refuse ?
-On te chargera. Tu feras beaucoup plus d’années de prison.
-OK, j’avoue. Je les ai tués tous les trois pour me venger !
-Vas-y, continue. Pour te venger de quoi ?
-Des armateurs. Pendant la guerre, ils ont pillés les biens de ma famille et maintenant, je vis dans la misère ! », hurla Marcel.
Vladimir sortit laissant le tueur à ses collègues et monta dans sa Ford. Il roula jusqu’à la plage, s’installa sur les galets, et sortit une calenche.
Triple meurtre au Havre
Scénario
Alexis Lefèbvre, Aurélien Legros, Kévin Lequilbec, Andy Longé, Maxime Pain, Geoffrey Ros, Jessy Ruby, Jimmy Ruby, Jérémy Sauvage, Karim Soula-Brahim, Florent Vitis
Cette nouvelle a été publiée sous la forme d'un petit livre augmentée d'illustrations photographiques.
L'Affaire Bouchard
L'Affaire Bouchard
Une aventure de Marcus Defavellas
Chapitre un
Le lundi 1er Mars alors qu’elle rentrait de son travail, Bénédicte Bouchard, la femme du président du tribunal de grande instance du Havre, découvre son appartement pillé par des malfrats. Le coffre a été vidé de son contenu. Elle remet les meubles en place, range l’appartement, ne prévient ni son mari ni la police mais décide de contacter un détective privé.
Chapitre deux
Le bureau de Marcus Defavellas était empli d’anciennes affaires classées par ordre alphabétique dans de larges armoires… Le bureau était situé au premier étage d’un immeuble qui impressionnait les clients, le Nice Havrais.
Marcus était assis derrière son bureau. Il était las de ne pas avoir de client. Il portait un costume foncé et une cravate rose. Il fumait la pipe.
Sa secrétaire allait démissionner mais elle lui avait dit qu’elle resterait jusqu’à la fin du mois.
Tout à coup, une femme entra. Marcus eut soudain le sourire et lui dit de le suivre jusqu’à son bureau.
Chapitre trois
Les présentations faites, la cliente expliqua son cas : en rentrant chez elle, elle avait trouvé son appartement en piteux état. Elle raconta que le contenu de son coffre avait été vidé et qu’un fameux DVD pouvant nuire à son mari comme à elle avait été dérobé. Bénédicte Bouchard avait peur qu’on la fasse chanter car son mari n’était pas au courant.
Marcus lui demanda si elle avait un amant et s’il était jaloux.
Chapitre quatre
Marcus appela un de ses amis, un avocat, connaissant bien le président du tribunal.
« Léonardo ? C’est Marcus. J’ai une affaire en cours. Je suis dans une impasse, j’aurais besoin d’un coup de main. ‘Faut que tu me donnes des renseignements sur les affaires jugées par Boris Bouchard.
-Je regarde dans les dossiers et je te rappelle plus tard. »
Une heure après, le téléphone sonna : « J’ai quelques noms… Maxime Frébourg, Fodil Benmouffok, et Kenny Gouzien…
-OK, merci. Je vois ce que je peux faire avec. »
Chapitre cinq
Le lendemain, la femme du président reçut une lettre demandant une rançon en échange du DVD. Elle s’empressa de prévenir Marcus qui se dépêcha d’organiser la rencontre avec le ou les malfrats.
Chapitre six
Le rendez-vous devait se tenir dans un hangar de la zone portuaire. Bénédicte se présenta dans le hangar à l’heure prévue, Marcus était en planque depuis des heures déjà. Une voiture entra à toute vitesse par la porte opposée. Un homme en sortit côté conducteur. Il était vêtu de noir.
Bénédicte posa la mallette à terre. Elle recula. L’homme fit quelques pas, la ramassa, recula à son tour. Il mit la main à l’intérieur de sa veste, sortit une arme, et tira…
Chapitre sept
Le soir même, Marcus prévint la police sans décliner son identité. Par la même occasion, il avertit le mari de Bénédicte. Il lui expliqua toute l’histoire, le vol, la demande de rançon, le rendez-vous et le meurtre de Bénédicte.
Après avoir pris conscience de la situation, Boris Bouchard décida d’engager Marcus afin de poursuivre l’enquête.
Chapitre huit
Le lendemain, le mari de Bénédicte reçut dans sa boite aux lettres un nouveau courrier des malfrats.
Il appela Marcus. Ils se mirent d’accord. Ce sera Marcus qui se chargera d’aller au rendez-vous.
D’après la lettre, la remise d’argent s’effectuerait non plus dans un hangar mais dans le port de plaisance, à bord d’un bateau. La lettre stipulait qu’il devrait venir seul.
Chapitre neuf
Comme prévu, Marcus se rendit au port de plaisance. Il monta dans le voilier. Il faisait sombre. Il aperçut une silhouette à genoux devant le malfaiteur. C’était son ami avocat ! Le ravisseur, tout au long de l’échange, pointa son arme sur la tête de maître Léonardo. Au bout de longues minutes, l’échange se fit. Le maître – chanteur remit le DVD à l’avocat qui avança lentement vers son ami. Le malfrat le poussa violemment, il tomba sur Marcus. L’escroc en profita pour disparaître.
Chapitre dix
Une fois remis de ses émotions, Léonardo raconta tout ce qui lui était arrivé à Marcus.
Il était de retour à son bureau vers midi et demanda le courrier à sa secrétaire qui lui dit que quelqu’un l’attendait.
« Ah Bonjour Maître, je voulais vous voir !
-Venez, suivez-moi. Que me voulez-vous ?
-Oh… » Avant qu’il ait fini sa phrase, il lui sautait dessus et le bâillonnait. Ils sortirent pendant la pause de la secrétaire et mirent l’avocat dans le coffre d’une voiture.
« Voilà toute l’histoire ! Tu m’as sauvé la vie, Marcus !
-Oui mais dépêchons-nous maintenant. J’ai placé un mouchard dans la valise. Nous allons les suivre à distance.
Chapitre onze
Le mouchard les mena droit au tribunal. Marcus se gara. Ils entrèrent, Léonardo et lui. La secrétaire de Boris Bouchard les informa qu’il était en rendez-vous et qu’on ne pouvait pas le déranger. Marcus ouvrit la porte avec violence.
Le président était assis à son bureau, un homme se tenait en face de lui. L’homme se leva en une fraction de seconde, et pointa son arme sur les nouveaux arrivants. Une fusillade éclata. Le président fut blessé et le complice avoua que c’était lui l’amant de la femme du président avec qui il avait monté l’affaire. Ce dernier voulait se débarrasser de Bénédicte. La police fut avertie par la secrétaire du président. Elle arriva sur les lieux pour cueillir les deux criminels. Marcus avait résolu son affaire.
Scénario
Clément Adde, Fodil Benmouffok, Anthony Bost, Cindy Decobert, Steven Decobert, Vincent Dhieux, Anthony Douyer, Maxime Frébourg, Kenny Gouzien, David Jarrold, Pierre Le Moal
Cette nouvelle a été publiée sous la forme d'un petit livre augmentée d'illustrations photographiques.
Une aventure de Marcus Defavellas
Chapitre un
Le lundi 1er Mars alors qu’elle rentrait de son travail, Bénédicte Bouchard, la femme du président du tribunal de grande instance du Havre, découvre son appartement pillé par des malfrats. Le coffre a été vidé de son contenu. Elle remet les meubles en place, range l’appartement, ne prévient ni son mari ni la police mais décide de contacter un détective privé.
Chapitre deux
Le bureau de Marcus Defavellas était empli d’anciennes affaires classées par ordre alphabétique dans de larges armoires… Le bureau était situé au premier étage d’un immeuble qui impressionnait les clients, le Nice Havrais.
Marcus était assis derrière son bureau. Il était las de ne pas avoir de client. Il portait un costume foncé et une cravate rose. Il fumait la pipe.
Sa secrétaire allait démissionner mais elle lui avait dit qu’elle resterait jusqu’à la fin du mois.
Tout à coup, une femme entra. Marcus eut soudain le sourire et lui dit de le suivre jusqu’à son bureau.
Chapitre trois
Les présentations faites, la cliente expliqua son cas : en rentrant chez elle, elle avait trouvé son appartement en piteux état. Elle raconta que le contenu de son coffre avait été vidé et qu’un fameux DVD pouvant nuire à son mari comme à elle avait été dérobé. Bénédicte Bouchard avait peur qu’on la fasse chanter car son mari n’était pas au courant.
Marcus lui demanda si elle avait un amant et s’il était jaloux.
Chapitre quatre
Marcus appela un de ses amis, un avocat, connaissant bien le président du tribunal.
« Léonardo ? C’est Marcus. J’ai une affaire en cours. Je suis dans une impasse, j’aurais besoin d’un coup de main. ‘Faut que tu me donnes des renseignements sur les affaires jugées par Boris Bouchard.
-Je regarde dans les dossiers et je te rappelle plus tard. »
Une heure après, le téléphone sonna : « J’ai quelques noms… Maxime Frébourg, Fodil Benmouffok, et Kenny Gouzien…
-OK, merci. Je vois ce que je peux faire avec. »
Chapitre cinq
Le lendemain, la femme du président reçut une lettre demandant une rançon en échange du DVD. Elle s’empressa de prévenir Marcus qui se dépêcha d’organiser la rencontre avec le ou les malfrats.
Chapitre six
Le rendez-vous devait se tenir dans un hangar de la zone portuaire. Bénédicte se présenta dans le hangar à l’heure prévue, Marcus était en planque depuis des heures déjà. Une voiture entra à toute vitesse par la porte opposée. Un homme en sortit côté conducteur. Il était vêtu de noir.
Bénédicte posa la mallette à terre. Elle recula. L’homme fit quelques pas, la ramassa, recula à son tour. Il mit la main à l’intérieur de sa veste, sortit une arme, et tira…
Chapitre sept
Le soir même, Marcus prévint la police sans décliner son identité. Par la même occasion, il avertit le mari de Bénédicte. Il lui expliqua toute l’histoire, le vol, la demande de rançon, le rendez-vous et le meurtre de Bénédicte.
Après avoir pris conscience de la situation, Boris Bouchard décida d’engager Marcus afin de poursuivre l’enquête.
Chapitre huit
Le lendemain, le mari de Bénédicte reçut dans sa boite aux lettres un nouveau courrier des malfrats.
Il appela Marcus. Ils se mirent d’accord. Ce sera Marcus qui se chargera d’aller au rendez-vous.
D’après la lettre, la remise d’argent s’effectuerait non plus dans un hangar mais dans le port de plaisance, à bord d’un bateau. La lettre stipulait qu’il devrait venir seul.
Chapitre neuf
Comme prévu, Marcus se rendit au port de plaisance. Il monta dans le voilier. Il faisait sombre. Il aperçut une silhouette à genoux devant le malfaiteur. C’était son ami avocat ! Le ravisseur, tout au long de l’échange, pointa son arme sur la tête de maître Léonardo. Au bout de longues minutes, l’échange se fit. Le maître – chanteur remit le DVD à l’avocat qui avança lentement vers son ami. Le malfrat le poussa violemment, il tomba sur Marcus. L’escroc en profita pour disparaître.
Chapitre dix
Une fois remis de ses émotions, Léonardo raconta tout ce qui lui était arrivé à Marcus.
Il était de retour à son bureau vers midi et demanda le courrier à sa secrétaire qui lui dit que quelqu’un l’attendait.
« Ah Bonjour Maître, je voulais vous voir !
-Venez, suivez-moi. Que me voulez-vous ?
-Oh… » Avant qu’il ait fini sa phrase, il lui sautait dessus et le bâillonnait. Ils sortirent pendant la pause de la secrétaire et mirent l’avocat dans le coffre d’une voiture.
« Voilà toute l’histoire ! Tu m’as sauvé la vie, Marcus !
-Oui mais dépêchons-nous maintenant. J’ai placé un mouchard dans la valise. Nous allons les suivre à distance.
Chapitre onze
Le mouchard les mena droit au tribunal. Marcus se gara. Ils entrèrent, Léonardo et lui. La secrétaire de Boris Bouchard les informa qu’il était en rendez-vous et qu’on ne pouvait pas le déranger. Marcus ouvrit la porte avec violence.
Le président était assis à son bureau, un homme se tenait en face de lui. L’homme se leva en une fraction de seconde, et pointa son arme sur les nouveaux arrivants. Une fusillade éclata. Le président fut blessé et le complice avoua que c’était lui l’amant de la femme du président avec qui il avait monté l’affaire. Ce dernier voulait se débarrasser de Bénédicte. La police fut avertie par la secrétaire du président. Elle arriva sur les lieux pour cueillir les deux criminels. Marcus avait résolu son affaire.
Scénario
Clément Adde, Fodil Benmouffok, Anthony Bost, Cindy Decobert, Steven Decobert, Vincent Dhieux, Anthony Douyer, Maxime Frébourg, Kenny Gouzien, David Jarrold, Pierre Le Moal
Cette nouvelle a été publiée sous la forme d'un petit livre augmentée d'illustrations photographiques.
mardi 16 octobre 2007
Fiche de lecture:Tête de nègre
L'auteur est Daniel Picouly. Il a écrit tête de négre en février 1998. Ce livre a été édité par Librio( noir) et il a été illustré par Julien Ribot. Il a été vendu à 1,50 Euros dans toute l'Europe. Son ISBN est 2-277-30209-0.
A Haarleem au Luxembourg dans les quartiers malfamés, un aristocrate mulâtre aux yeux bleus se fait couper la tête qui va se faire voler par Edmond le baron. Des gens vont le poursuivre pour récupérer la tête. Et Edmond s'enfuit.
Je ne peux pas en dire plus car je ne l'ai pas lu en entier.
Je n'ai pas aimé ce livre : le vocabulaire est trop compliqué.
A Haarleem au Luxembourg dans les quartiers malfamés, un aristocrate mulâtre aux yeux bleus se fait couper la tête qui va se faire voler par Edmond le baron. Des gens vont le poursuivre pour récupérer la tête. Et Edmond s'enfuit.
Je ne peux pas en dire plus car je ne l'ai pas lu en entier.
Je n'ai pas aimé ce livre : le vocabulaire est trop compliqué.
Le gone du chaâba
L'auteur est Azouz begag il écrit le gone du chaâba en 1986.
Un film a été tourné pour le cinéma.
résumé:
Zidouma est le personnage prinpal du livre.
L'histoire se déroule au chaâba.
Je ne sais pas le moment oû elle a lieu.
Adolescent auquel il arrive plein d'aventures et mésaventures.
Il fait un marché pour aider une dame à vendre des salades ,c'était un cancre à l'école.
Au chaâba Zidouma aimait aider les, rendre service. Jusqu'au jour ou ils déménagèrent lui et parents à Sergent-Blaudau ,et il devint un élève modèle,le meilleur élève de la classe.
Il repense à ses anciens camarades Sasser qui avait insulté son professeur monsieur le.grand de "pd"car il lui avait demandé d'enlevé ses chaussettes.
avis sur le livre:
je ne l'ai pas trop apprécié car il y a pas assez d'action et trop de gros mots.
Je l'ai lu jusqu'au bout mais j'ai un moment eu envie de le laisser tomber.
Je ne conseil aps au enfants de le lire car il y a beaucoup de gros mots.
Un film a été tourné pour le cinéma.
résumé:
Zidouma est le personnage prinpal du livre.
L'histoire se déroule au chaâba.
Je ne sais pas le moment oû elle a lieu.
Adolescent auquel il arrive plein d'aventures et mésaventures.
Il fait un marché pour aider une dame à vendre des salades ,c'était un cancre à l'école.
Au chaâba Zidouma aimait aider les, rendre service. Jusqu'au jour ou ils déménagèrent lui et parents à Sergent-Blaudau ,et il devint un élève modèle,le meilleur élève de la classe.
Il repense à ses anciens camarades Sasser qui avait insulté son professeur monsieur le.grand de "pd"car il lui avait demandé d'enlevé ses chaussettes.
avis sur le livre:
je ne l'ai pas trop apprécié car il y a pas assez d'action et trop de gros mots.
Je l'ai lu jusqu'au bout mais j'ai un moment eu envie de le laisser tomber.
Je ne conseil aps au enfants de le lire car il y a beaucoup de gros mots.
Fiche de lecture:la fille du canal
La fille du canal
Cette histoire parle d'une fille de 11 ans qui s'appelle Sarah.
Depuis quelques temps Sarah n'est plus la même.
Il n'y a que sa professeur qui semble être la seule à remarquer. Sarah vit chez ses parents, elle ne s'entend pas trèp bien avec son père .
Sarah et son père s'évitent tout le temps. Sarah a plus de conversation avec sa mère.Sarah est à l'école, elle ne travaille pas super bien. Sarah est douée en arts plastiques. Son professeur a demandé à sa mère si Sarah voulait bien s'inscrire à a un concours de dessin. Sa professeur de Sarah a convoqué sa mère pour lui parler de Sarah. Quand la mère de Sarah vit la professeur, elle lui dit que Sarah était bizarre, sa mère lui dit qu'elle ne savait pas pourquoi Sarah était comme ça. Sarah a tout le temps une poupée dans ses bras. Sarah dit à l'institutrice : il y a le soleil.
"l'intitutrice s'étonne"
Les inspecteurs quittent l'appartement de l'enseignante. Ils ont enregistré sa déposition. Sarah a raconté, elle aussi ses parents assis sur le canapé l'ont écoutée. Son père pleure sans un mot , sa mère a les yeux rouges et gonflés, son maquillage coule. Sa mère ouvre les bras et implore sa fille du regard. Sarah se réfugie contre elle. Sa professeur s'esquive et va décrocher la photo du mur. Elle la glisse dans son journal intime.De retour Sarah rentre chez elle et va se coucher .Sarah sort sa poupée du cartable que lui a rendu sa maitresse .Sa mère lui retire .Quand Sarah commence à s'endormir son père la rejiond .Il s'assait sur le lit et lui prend la main et lui mumure dans l'oreille "je taime ". Tard dans la nuit ,une voiture du samu freine devant le la agre .Un homme saoul titube sur la chaussée.Sa figure est en sang ,les médecins arrivent,Sarah entend du bruit elle ouvre la fenêtre elle n'entend personne dans l'apartement.Sarah descend dans la cuisine.Elle ouvre un placard sous lévier.Elle prend sa poupée.Elle la serre fort dans ces bras .Si fort que le canal qui lui render si triste à cause du froid et d'autre.Alors demain ,l'eau du canal coulera .
_L'auteur du livre s'appelle Thierry Lenain.
_Le tire de l'histoire est la fille du canal .
_L'éditeur de ce livre s'appelle Nathalie Girard.
_La collection de ce livre est de Pocket junoir.
_La dtae du livre est de 1992.
Non je n'est pas aimé ce livre car ce n'est pas mon style de livre .
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